Ni bras, ni jambes, mais un grand Dieu
Je m’appelle Nick Vujicic et je rends gloire à Dieu pour la manière dont Il a utilisé mon témoignage pour toucher des milliers de cœurs dans le monde entier ! Je suis né sans membres et les médecins ne savaient pas d’où venait cet « handicap » de naissance. J’ai dû faire face à bien des difficultés et des obstacles.
Considérer nos blessures, nos douleurs et nos luttes comme rien d’autre qu’un sujet de joie ? Mes parents étaient chrétiens et mon père était même pasteur de notre église, ils connaissaient ce verset parfaitement. Pourtant ce matin du 4 décembre 1982 à Melbourne, en Australie, « Dieu soit loué ! » étaient les derniers mots leur venant à l’esprit. Leur fils aîné était né sans membres ! Ils n’avaient pas pu se préparer à cette épreuve car il n’y avait aucune raison médicale pour ce handicap. J’ai maintenant un frère et une sœur qui sont nés comme n’importe quel autre enfant.
Guérison de deux maladies rares et d’une fibromyalgie
Le seul but de ce témoignage est de donner toute la gloire à Dieu, et à lui seul. En effet, comment expliquer, au point de vue humain, ce qui a bien pu se passer du jour au lendemain dans mon corps, si ce n’est l’intervention de Dieu Lui-même ? J’avais des douleurs diffuses et insupportables de la tête aux pieds, jour et nuit, en permanence. J’ai d’abord été diagnostiquée fibromyalgique par un rhumatologue. Mais devant l’ampleur des souffrances qui grandissaient toujours, des examens supplémentaires et complémentaires ont été réalisés, notamment des scanners, IRM, scintigraphie osseuse et analyses génétiques, et j’ai donc dû consulté divers spécialistes.
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J’étais Témoin de Jéhovah
J’ai appartenu depuis décembre 1973, date de mon baptême, jusqu’à juin 2008, soit presque trente-cinq ans, à l’organisation Wath Tower Bible and Tract Society, Organisation juridique des Témoins de Jéhovah, dans laquelle j’ai exercé plusieurs responsabilités. Comme on ne célébrait aucune fête, ni Noël, ma famille s’est très opposée à moi. A cause de cette opposition, je m’impliquais encore plus au profit de cette Organisation.
J’en suis venu à ne pas même m’occuper de mon épouse, ce qui a créé des problèmes sérieux au sein de notre couple. Je ne priais même pas pour ma famille à cause de son opposition alors que j’aurais dû le faire. Je reconnais que les Témoins de Jéhovah m’ont fait connaître grandement la Bible. Ce sont des personnes sincères, moralement honnêtes, mais qui sont malheureusement, je l’ai appris plus tard, manipulés et conditionnés d’une manière habile et subtile.
On ne naît pas chrétien, on le devient
Bonjour, je m’appelle Pierre, j’ai presque 16 ans et je suis en classe de seconde au lycée. Je suis né dans un foyer chrétien et mon père est le 4e pasteur consécutif de ma famille, donc j’étais bien entouré. Mais, comme on dit, on ne naît pas chrétien, on le devient.
Je vais vous raconter mon témoignage: Alors que j’avais 9 ans, ma mère est tombée gravement malade. Vous savez, c’est dur pour un enfant de voir sa mère malade tous les jours. Au début, on devait prier pour qu’elle guérisse ; mais, plus tard, Dieu nous a demandé de le remercier pour sa guérison alors qu’elle n’était pas encore guérie et que les médecins ne connaissaient aucun remède à ses maladies.
Mort, il revient à la vie
Voici l’histoire de Frank Breido, un Allemand d’Osnabrück qui est mort quelques courts instants d’une leucémie en 1992 et peu après est sorti complètement guéri de l’hôpital à la stupéfaction des médecins de la Clinique Universitaire d’Essen dans la Ruhr.
Le cas est parfaitement documenté : seul commentaire d’un professeur de médecine incroyant : « oui, il est vrai que d’être entouré de pensées positives aide à la guérison… » (suite…)
Mes parents, de tradition catholique, m’ont inculqué des valeurs d’honnêteté et de droiture dans mon enfance. Ils m’ont aussi parlé de Jésus. Ces bonnes graines devaient porter du fruit au temps de Dieu.
Je ressenti très tôt dans ma vie le désir de vivre pleinement l’instant présent avant d’être un jour confronté à la mort. « Brûler plutôt que de durer », aimais-je à penser !.
L’avenir et l’idée de me voir vieillir m’effrayaient dès ma jeunesse. J’ai quitté très jeune ma famille pour vivre à Paris, puis à Marseille, voulant profiter de la vie et refusant la banalité d’une existence ordinaire : Je n’étais pas né pour ça ! (suite…)
Bois-d’Arcy
Le 10 septembre 1996, je me trouvais dans la prison de Bois-d’Arcy, dans la cellule 229. Je tournais comme un lion en cage, et je me demandais comment j’en étais arrivé là. Ma vie s’était écroulée peu de temps avant, quand j’avais été arrêté, conduit devant Madame le Juge, qui m’avait inculpé de plusieurs vols à main armée et annoncé que ce genre d’affaires menait droit à 20 ans de réclusion.
20 ans ! Et notre entretien n’avait duré qu’une demi-heure ! Qu’allaient devenir mes deux garçons d’un et trois ans, ma femme qui attendait un troisième bébé ? Si quelqu’un m’avait annoncé alors que mon incarcération ne durerait que sept mois, je l’aurais sûrement pris pour un fou ! (suite…)